Cet article est le transcript et les ressources de bonus du podcast Slow Marketing. 🎧 Voici le lien pour écouter l'épisode ! 📮Abonne-toi à la Newsletter pour ne rien louper des prochains épisodes !
Dans cet épisode de Slow Marketing, nous vous invitons à découvrir un partenariat inspirant avec Sench, la communauté des consommateurs conscients et des écopreneurs engagés. Ce partenariat unique va permettre de partager chaque mois les moments forts des Conscious Talks de Sench, des discussions riches en idées novatrices et en récits porteurs de sens.
Sabrina Bulteau, Valentine Cossée de Maulde et Sarah Ladam, de Sench, nous expliquent comment ce projet est né et comment il vise à encourager un changement de comportement positif. Nous explorons ensemble l'importance des récits dans la transition vers une consommation plus responsable, ainsi que le rôle du marketing dans la création de nouvelles normes désirables. Cet épisode est une invitation à réimaginer le marketing comme un levier puissant pour un avenir durable et éthique.
Quelques questions abordées dans cet épisode :
Qu'est-ce qu'un Conscious Talk et quel impact ces discussions ont-elles sur la communauté des écopreneurs ?
Comment le partenariat entre Sench et Slow Marketing renforce-t-il le message de consommation responsable ?
Quel est le rôle des récits et du marketing dans la promotion de modèles d'affaires régénératifs ?
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Les ressources
Emmanuel Druon - directeur de l’entreprise Pocheco https://pocheco.com/fr/
Sophie Robert-Velut - DG Expanscience / Mustela
Olivier de Cartier - CEO Copains group https://copains.group/
Camille Mommer - Natura Mater https://www.naturamater.eu/
Jean Seyll fondateur de Lucid https://lucid-collective.eu/
Bruno Van Steenberghe de Kalani www.kalani-home.com
Le transcript
Merci à mon partenaire Scrybecast qui m'aide à générer des transcripts de qualité !
Bienvenue dans cet épisode spécial de Slow Marketing. Aujourd'hui, j'ai le plaisir de vous présenter un partenariat inspirant avec Sench, la communauté des consommateurs conscients et des éco-preneurs engagés. Ensemble, nous allons explorer comment ce partenariat va permettre de diffuser chaque mois les moments forts des Conscious Talks de Sench, dont on vous en dira plus tout de suite, et comment, en unissant nos forces, nous pouvons encourager un changement de comportement positif à travers des récits porteurs de sens et un modèle d'affaires régénératif.
Sabrina, Valentine et Sarah, merci pour votre présence.
Pour commencer, est-ce que vous pouvez vous présenter ?
Sabrina Bulteau :
Bonjour Anaïs, d'abord merci de nous accueillir sur ton podcast. Moi, je suis Sabrina Bulteau, je suis la CEO et cofondatrice de Sench. Je suis ce qu'on appelle une "serial entrepreneur", entre guillemets, je n'en suis pas à mon premier coup d'essai. J'ai notamment co-fondé une agence digitale qui s'appelait BeConnect. Je dis "qui s'appelait BeConnect" puisqu'elle a été vendue au groupe iO. Ça a été une très belle aventure humaine et commerciale.
J'y ai dégoté plein de super talents, et vous comprendrez le lien avec Valentine dans quelques minutes. Au-delà de ça, je suis un dinosaure du digital puisque ça fait 25 ans que je suis sur le marché. En fait, quand j'ai vendu ma société et que j'ai arrêté ce projet-là, en tant qu'entrepreneur, je me suis dit : "Tiens, il faut lancer quelque chose d'autre, une envie de lancer quelque chose de différent et surtout de faire du business qui fait sens", si j'ose dire. Arrêter de faire des campagnes pour créer des besoins sur des produits qui ne sont pas nécessaires. Et de là, entre guillemets, a émergé l'idée du projet Sench. Puis, j'ai frappé à la porte de Valentine, et elle est montée à bord.
Valentine Cossé :
Et du coup, moi c'est Valentine Cossé, donc j'ai 35 ans, je suis cofondatrice de Sench. Je suis plutôt sur le volet communication, enfin principalement je dirais, mais après on est un peu au four et au moulin. J'ai travaillé pendant plus de dix ans en marketing digital. Comme dit Sabrina, la pomme ne tombe pas loin de l'arbre. J'étais chez BeConnect. C'est comme ça qu'on s'est rencontrées. On a eu le temps de travailler plutôt longtemps ensemble. Après BeConnect, j'ai fait un passage en tant que freelance, toujours en marketing, et aussi dans l'événementiel avec une casquette B2B pour un domaine privé dans l'Oenologie. Depuis un peu plus d'un an, on développe Sench ensemble.
Sarah Ladam :
Moi, j'ai croisé la route de Sabrina et Valentine il y a moins d'un an. Ce qui est génial, c'est que ça faisait écho à la direction que je prenais depuis quelques années, en particulier sur la durabilité et le changement de comportement. Avant de faire du marketing, je suis passée par la psychologie clinique, et ça me donne un angle particulier dans mon travail. Je m'intéresse à la désirabilité des modèles de transition et à poser les bonnes questions pour générer un véritable impact. Donc, le projet Sench s'est imposé comme une évidence.
Merci, trois super profils très inspirants. Sabrina, est-ce que tu peux nous en dire un peu plus sur comment est né le projet Sench et quelle est sa mission principale ?
Sabrina Bulteau :
Comme je le disais, quand j'ai clôturé le chapitre BeConnect, j'ai pris un mois et demi de pause pour prendre du recul. Je me suis demandé : "Est-ce que tu as envie de continuer à faire du business de la même façon, ou différemment ?" J'ai pressenti qu'il se passait quelque chose, un peu comme ce que j'avais ressenti il y a 25 ans dans le digital. J'ai identifié deux gaps importants : le C2 gap (97% des gens veulent agir pour la planète, mais seulement 13% passent à l'action), et le manque de lien entre les citoyens, les entreprises et les éco-preneurs.
Notre mission est simple : accélérer le changement de comportement de consommation, de production et de financement, mais de manière désirable, pratique et joyeuse. On veut guider les citoyens, soutenir les éco-preneurs, et accompagner les entreprises traditionnelles pour construire un futur désirable. Sench est né pour répondre à ce besoin, et on a lancé ce beau projet le 13 septembre 2023.
Parmi toutes les activités de Sench, il y a notamment les Conscious Talks. Valentine, peux-tu nous en dire un peu plus sur ces conférences et leur impact sur la communauté Sench ?
Valentine Cossé :
Les Conscious Talks sont des conférences interactives avec des experts et des éco-preneurs autour de thématiques liées à la durabilité. Ce sont des discussions conviviales et abordables, loin de tout ton culpabilisant. On couvre des sujets variés parce que tout le monde ne rentre pas dans la durabilité par la même porte. Par exemple, cette année, on a eu Emmanuel Druon pour parler de l'économie, ou encore Sophie Robert-Velut, CEO des laboratoires Expanscience, pour aborder le changement au sein d'une entreprise familiale.
L'impact sur la communauté est double : éducation et action. On veut donner aux gens des clés pratiques pour qu'ils se mettent en mouvement, tout en favorisant les rencontres et échanges entre les différents profils présents.
Super intéressant. Est-ce que je dévoile un peu le contexte et le projet de ce partenariat : nous avons décidé que les prochains Conscious Talks de cette rentrée de septembre 2024 vont être diffusés sur Slow Marketing. Est-ce que tu peux nous en dire un peu plus, Valentine, sur le programme des prochaines sessions, les thématiques qu’on va retrouver, et où peut-on avoir plus d’informations pour participer ?
Valentine Cossé :
Oui, bien sûr ! On peut retrouver le programme complet jusqu'à décembre sur sench.be/events. Pour donner un aperçu, voici quelques dates et thèmes :
Le 18 septembre : "De la ferme à l’assiette, la santé des hommes dépend de la santé des sols."
Le 16 octobre : "Décarbonation des médias et impact des contenus."
Le 14 novembre : "Économie de la fonctionnalité."
Le 12 décembre : "Habitat responsable, les vraies innovations et les fausses bonnes idées."
C’est très varié, et je pense que ça va beaucoup plaire à votre audience. Nous voulons que ces événements soient des lieux de rencontre et d’échange. Donc si cela vous intéresse, tout est disponible en ligne.
Sarah, comme c’est toi qui es à l’origine de cette rencontre, est-ce que tu peux nous expliquer la genèse de ce partenariat et la synergie que tu vois entre nos deux plateformes, Slow Marketing et Sench, pour renforcer le message de consommation responsable et soutenir les éco-preneurs ?
Sarah Ladam :
Outre l’objet commun de nos deux projets, qui est de soutenir le changement de comportement, j’ai aussi ressenti un ADN très similaire. Nous avons cette envie commune de faire du marketing autrement, d’utiliser les principes du marketing pour un mieux. Ce partenariat fait écho à trois notions essentielles pour accélérer les comportements :
Le changement est possible et concret : on doit montrer que des solutions existent et qu'elles sont pratiques.
Visibiliser ce changement : les solutions sont déjà adoptées par beaucoup. Il faut mettre en lumière ceux qui se mettent en action.
L’enthousiasme : nous avons cette volonté d’aborder le changement avec positivité et optimisme. Ce qui n’est pas commun, mais qui est essentiel pour faire avancer les choses.
Ce partenariat avec Sench est donc pour moi une évidence. En alliant nos forces, on peut vraiment diffuser ces récits positifs à une audience plus large.
Sabrina, on a fait hier ensemble la fresque des imaginaires. C’était une expérience géniale ! Peux-tu me dire pourquoi les récits et les imaginaires sont si importants dans la mission de Sench et comment ils contribuent à un changement de comportement ?
Sabrina Bulteau :
Oui, c’était vraiment top ! Pour moi, que ce soit les récits ou les imaginaires, ce sont des éléments qui structurent notre relation au monde. Ils définissent nos modes de vie. Si on arrive à créer de nouveaux récits positifs et engageants, on peut vraiment mettre les gens en action.
Un récit collectif permet de créer une vision commune d’un futur souhaitable. Cela crée de l’adhésion et mobilise les individus. Pour moi, raconter des histoires qui résonnent avec les valeurs et les émotions des gens, c’est la clé. C'est le fondement même du marketing. Chez BeConnect, notre leitmotiv, c’était le storytelling. Ce n’est pas juste vendre un produit, c’est raconter une histoire dans laquelle les gens se reconnaissent.
Les récits ont aussi un rôle dans l’éducation et la transmission. Ils nous permettent de transmettre des connaissances et des expériences. En touchant à l’imaginaire, on ouvre aussi la porte à l’innovation. C’est là que l’on peut inventer de nouveaux modèles de vie qui répondent aux défis d’aujourd’hui. Mais il est essentiel que ces récits soient positifs et non culpabilisants, car sinon, on fige les gens au lieu de les engager.
Valentine, en parlant de désirabilité, quel regard portes-tu sur l’évolution des consommateurs aujourd’hui et comment Sench contribue à cette transition ?
Valentine Cossé :
Il y a plein de choses à dire sur ce sujet. Il est vrai qu’en étant dans la durabilité, on a parfois l’impression que tout le monde est déjà embarqué dans le mouvement. Mais ce n’est pas le cas. On ne peut pas demander à tout le monde de faire de la durabilité une priorité, surtout dans le contexte économique actuel. Il y a beaucoup de gens pour qui la priorité, c’est d’arriver à la fin du mois. Cela dit, on observe une évolution lente, mais sûre.
Le C2 gap reste un défi : tout le monde veut bien faire, mais au moment d’acheter, le prix reste souvent le critère dominant. C’est pour cela que chez Sench, nous mettons un point d’honneur à rendre cette transition désirable. Nous faisons en sorte que les consommateurs voient que ce n’est pas seulement bon pour la planète, mais aussi pour leur bien-être et leur santé.
Avec Sench, notre mission est de sensibiliser et conscientiser. Nous voulons donner aux gens les clés pour passer à l’action. C’est pour cela que nous avons mis en place la Conscious Toolbox, avec des ateliers en entreprise pour embarquer les collaborateurs dans cette transition. On accompagne aussi les entreprises dans la transition de leurs business models avec une approche régénérative.
Sarah, tu as beaucoup parlé de désirabilité et de son rôle dans le marketing. Quel est le rôle du marketing dans la création de nouveaux modèles de consommation et de société ?
Sarah :
Le marketing a ce pouvoir de créer des normes désirables et de façonner nos rêves individuels et collectifs. Il joue sur l’identification en créant des archétypes, des modèles à suivre. L'émotion est un puissant moteur de changement, et la transition demande justement un changement de comportement.
Je pense qu’on est bien conscients du problème, et on nous donne des solutions, mais ce qui manque, c’est de rendre ce changement désirable. Le marketing peut vraiment jouer un rôle crucial en visibilisant ces modèles positifs et crédibles. Il doit aussi rester pragmatique, transparent et objectif, pour que ce changement devienne non seulement une réalité, mais un réflexe.
Merci pour cette analyse. Je suis super excitée par les épisodes qu’on va faire ensemble et plus généralement par ce partenariat avec Sench, pour pouvoir donner au plus grand nombre accès à ces conférences. Comme on le disait, ce sont des questionnements que je me pose, et pouvoir les avoir en conférence, en podcast, ou dans des échanges sur LinkedIn et dans les commentaires, ça fait vraiment du bien. Je pense que c’est ce qui nous lie toutes les quatre dans nos projets. Si je vous dis Slow Marketing, à quoi pensez-vous ?
Valentine Cossé :
Moi, j’ai vraiment deux choses qui me viennent tout de suite à l’esprit.
Premièrement, ce sont les nouveaux narratifs, les nouvelles histoires que l’on met en lumière pour donner envie de changer nos comportements et rendre désirable une autre façon de consommer.
Deuxièmement, c’est le côté diffusion avec un plus faible impact. C’est-à-dire faire des choix judicieux, comme utiliser des serveurs qui consomment moins pour les sites web ou les campagnes publicitaires, afin d’avoir un impact plus faible. Il y a donc vraiment ces deux dimensions : la création des messages et leur diffusion.
Sabrina, tu veux enchaîner ?
Sabrina Bulteau :
Je suis totalement d’accord avec ce que vient de dire Valentine. Ce qu’elle décrit est essentiel. Pour moi, un point clé du Slow Marketing, c’est qu’il ajoute un troisième acteur à la relation traditionnelle entre une entreprise et les besoins des consommateurs : la nature. Ce n’est plus juste une question de relation entreprise-consommateur, mais de prendre en compte l’impact sur l’environnement.
Ce que j’aime dans la dynamique du "slow", c’est que ça nous permet de prendre le temps de nous poser les bonnes questions. Je ne suis pas pro-décroissance, car je pense que la solution ne réside pas dans la limitation ou la réduction, mais plutôt dans une démarche régénérative. On doit réfléchir à comment réinventer les modèles et tester ces nouveaux modèles. L’exemple que je donne souvent, c’est celui des cathédrales : elles ne se construisaient pas en deux ans, mais en plusieurs dizaines d’années. On doit adopter cette vision du long terme.
Le Slow Marketing permet de casser cette obsession du "toujours plus" pour entrer dans une réflexion plus profonde sur l’impact économique, écologique et humain de ce que l’on fait.
Sarah, qu’en penses-tu ?
Sarah Ladam :
Je suis totalement en phase avec vous deux. Le concept de Slow Marketing, c’est aussi prendre le temps de s’interroger, d’interroger les autres, de créer des liens et de changer de perspective. Cela peut aussi permettre au marketing d’adopter un rôle de sentinelle. C’est-à-dire être le garant de ce que l’on va produire en termes de croyances et de comportements, pour développer plus de justesse et promouvoir des normes plus vertueuses.
Pour moi, le Slow Marketing, c’est un marketing qui se pose des questions et qui se remet en question. J’aime bien dire que c’est un marketing en pleine réflexion, et je pense que cela reflète bien ce que nous essayons de faire.
Dernière question, que je n’avais pas posée depuis longtemps : est-ce que chacune de vous peut me donner le nom d’une entreprise ou d’une marque que vous trouvez inspirante et que vous pensez que je devrais interviewer sur Slow Marketing ?
Sarah Ladam :
Je risque de me répéter, mais j’aimerais vraiment mentionner Nature Amateur, un bureau de conseil en matériaux de construction durable basé à Bruxelles. J’ai eu l’occasion de croiser leur chemin dans le cadre de l’écosystème de Sench, et je trouve leur travail de positionnement fascinant, surtout dans un secteur aussi technique que la construction. Ils arrivent à rendre cette thématique désirable, à la fois pour les professionnels du bâtiment et pour le grand public.
Et bien sûr, je ne peux pas passer à côté d'Emmanuel Druon et de son entreprise Pochéco, dans le nord de la France. Ils produisent des enveloppes, mais ce qu’ils font va bien au-delà de ça. Ils ont totalement réinventé leur modèle d’entreprise, en mettant l’accent sur l'impact environnemental et social. Aller visiter leur site et écouter Emmanuel parler de sa vision est vraiment inspirant. Il montre que la transition est non seulement possible, mais qu’elle peut améliorer le bien-être de tous.
Sabrina, et toi ?
Sabrina Bulteau :
Il y a deux marques qui me viennent à l’esprit.
La première, c’est Lucide, fondée par Jean Seil. C’est une marque de slow fashion qui se fixe pour ambition de faire des "honest clothes" – des vêtements honnêtes, transparents dans leur production et leur impact. Jean a une vraie réflexion sur la relocalisation de la production, l’activation de savoir-faire locaux, et il est très en dialogue avec sa communauté pour co-construire les produits. Par exemple, sur les chaussettes, il a adapté son offre en fonction des retours sur la durabilité. Il a une vraie démarche éthique et collaborative.
La seconde, c’est Sophie Robert-Velut, la CEO d’Expanscience (qui possède la marque Mustela). Sophie est une leader incroyablement inspirante, qui a eu le courage de prendre des décisions fortes, comme arrêter la production de lingettes bien avant que la législation ne l’impose, même si cela représentait 20 % de leur chiffre d’affaires en France. Elle a repensé complètement la façon de faire du business, de la logistique au transport, et a montré que la durabilité est compatible avec un modèle économique viable. Sophie porte des récits qui inspirent à se bouger, et je pense qu’elle serait une invitée fantastique pour ton podcast.
Valentine, as-tu des recommandations ?
Valentine Cossé :
Je dirais Kalani, une marque de linge de maison. Ils produisent de super produits et prennent vraiment le temps d’éduquer leurs consommateurs sur leurs choix de matières, leur sourcing, etc. C’est un processus très transparent, et j’admire leur engagement à rendre la durabilité accessible et compréhensible pour tous.
Et puis je rajouterais Copain, une PME belge qui fabrique du pain. Leur mission est de rendre du bon pain accessible à tous, sans que ce soit plus cher qu’un pain industriel. Ils sont passionnés par ce qu’ils font, et leur marketing est à la fois transparent, léger et très abordable. C’est vraiment inspirant.
Trop bien, je suis super contente parce que ça fait très longtemps que je n’ai pas posé cette question dans le podcast et je savais qu’avec vous trois, j’allais avoir une liste d’inspiration. Merci beaucoup à toutes les trois pour cet épisode spécial qui nous a permis d’introduire ce partenariat.
À partir de septembre, on va diffuser chaque mois une Conscious Talk sur Slow Marketing. Une semaine après l'événement, vous pourrez retrouver l’audio de la conférence sur le podcast. J’invite vraiment toutes nos auditeur·ices à venir aux conférences si vous êtes à Bruxelles ou dans les environs. C’est une expérience vraiment enrichissante, et j’y serai à chaque fois, donc n’hésitez pas à venir me rencontrer !
Encore merci à toutes les trois.
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